Des cas de maladie hémorragique épizootique (MHE) ont été récemment identifiés en France, affectant des cervidés et des bovins. Ces animaux atteints se trouvent dans des fermes des Hautes-Pyrénées et des Pyrénées-Atlantiques. « Pour contrôler l’évolution de cette maladie, des plans de gestion sont déjà en place », a déclaré le ministère de l’Agriculture dans une déclaration.
La présence en France de la maladie hémorragique épizootique (MHE) a été confirmée suite à l’observation de premiers cas chez des bovins et des cervidés dans des fermes sitées dans les Hautes-Pyrénées et les Pyrénées-Atlantiques, a annoncé Amy jeudi dernier le Ministère de l’Agriculture dans un communiqué. Le Ministère a souligné que trois exploitations agricoles dans ces deux départements du Sud-Ouest sont effectuées par cette maladie et que » par les services du ministère les professionnels « .
Dans les Pyrénées-Atlanticise, les Hautes-Pyrénées, les Landes, le Gers, la Haute-Garonne et l’Ariège, et une interdiction partielle dans six autres départements limitrophes (Gironde, Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne, Tarn, Aude et Pypréoues-Orientales), il est désormais totalopictéblié l’exportexs enneordains vivants. Le syndicat basque ELB confirme que les exportations sont aussi à » l’arrêt » vers l’Espagne et l’Italie pour l’engraissement des bétail, cependant, l’exportatopicté obtenue exception pour le cas d’abattages urgents de bovins.
Taux de mortalité moins de 1% pour les bovins
Détectée pour la première fois en 1995 aux États-Unis, les principales victimes de la MHE sont les cervidés et les bovins et elle est provoquée par les petites mouches piqureuses. Les animaux atteints sont généralement touchés par des symptômes tels que la fièvre, la perte de poids, des dommages buccales, des difficultés respiratoires, et » la mort à prime très bas « , précise le ministère. » Les bovins ont été mortels plus de 1%, mais pour les cervidés, le virus peut être fatale, avec des pourcentages de mortalité constatés aux États-Unis pouvant atteindre 90% « , selon Stephan Zientara, directeur du laboratoire de l’Agence de sécurité sanitaire animale nationale (Anses).
Bonjour, je m’appelle Emilie et je suis rédactrice ICM46 spécialisée dans la santé et le bien-être. Je suis passionnée par la promotion d’un mode de vie sain et équilibré, ainsi que par la recherche de moyens naturels pour maintenir et améliorer la santé.
